Après avoir bien ri (je l'espère), revenons désormais à quelque chose d'un peu plus sérieux... à savoir mon mémoire!
Quand je pense que je viens à peine de digérer le précédent et que je commence déjà à remettre le coeur à l'ouvrage alors que la fin du Master est tout de même prévu pour juin 2010, je dois dire que c'est quand même un peu étrange. Enfin, vu que pour le bachelor on a fait ça un peu à l'arach', autant si prendre un peu à l'avance cette fois. D'autant que, comme on me l'a fait remarquer récemment, juin 2010 c'est la période du Mondial de foot, donc il faudra bien s'organiser...
Pour rappel, j'aimerais étudier le rapport entre politique et médias. Mon sujet devrait s'articuler autour de la médiatisation de la vie privée des femmes et des hommes politiques. Après, je peux pas vous en dire beaucoup plus puisque jusqu'à présent je ne me suis pas encore plongé dedans. Mais comme mercredi, je dois faire une présentation de mon projet dans le cours Pratique de la recherche II, il faut bien que je m'y mette maintenant.
Aujourd'hui, les polticien(ne)s les plus connu(e) sont considéré(e)s et traité(e)s par la presse à scandale comme de véritables "people". La semaine dernière encore, Voici faisait sa Une avec Ségolène Royal, laissant entendre qu'elle aurait une histoire avec l'ancien auteur des Guignols de l'Info. Preuve qu'il n'y pas que Sarkozy qui focalise l'attention des paparazzi. La presse internationale (et aussi les journaux dits sérieux cette fois) a également beaucoup parlé de la grossesse de la Ministre Rachida Dati. Les britanniques allant jusqu'à spéculer sur l'identité du père biologique. Pourquoi existe-t-il un tel engouement pour ce genre d'affaires alors qu'il y a encore une dizaine d'années cela semblait indécent? Comment est-on arrivé à un tel mélange des genres entre vie privée et publique? En France, on a l'impression que les journalistes se sont véritablement décomplexés sur le sujet de la vie privée depuis les années Mitterrand où régnait une sorte d'omerta sur l'existence de la fille "illégitime" du Président.
Ce que j'ai lu jusqu'à présent tend à démontrer que ce phénomène n'est pas vraiment récent en fait. En pleine années Giscard, Schartzenberg (1977) en parlait déjà dans un ouvrage intitulé l'Etat Spectacle, où il dénonçait la "starification" des hommes politiques. Un autre article, montre qu'aux Etats-Unis (pays considéré comme précurseur en la matière), l'exposition de la vie privée chez les hommes politiques est véritablement apparue avec JFK qui est rapidement devenu coutumier du fait. En Suisse, contrairement à certaines idées reçues, nous ne sommes actuellement pas en reste. Le traitement des conflits conjugaux de Valérie Garbani au printemps dernier en est un exemple révélateur.
Voilà pour le contexte général, reste maintenant le plus difficile, à savoir trouver une véritable problématique ainsi qu'une question de départ. Je vous donnerai des nouvelles.... A bientôt
Quand je pense que je viens à peine de digérer le précédent et que je commence déjà à remettre le coeur à l'ouvrage alors que la fin du Master est tout de même prévu pour juin 2010, je dois dire que c'est quand même un peu étrange. Enfin, vu que pour le bachelor on a fait ça un peu à l'arach', autant si prendre un peu à l'avance cette fois. D'autant que, comme on me l'a fait remarquer récemment, juin 2010 c'est la période du Mondial de foot, donc il faudra bien s'organiser...
Pour rappel, j'aimerais étudier le rapport entre politique et médias. Mon sujet devrait s'articuler autour de la médiatisation de la vie privée des femmes et des hommes politiques. Après, je peux pas vous en dire beaucoup plus puisque jusqu'à présent je ne me suis pas encore plongé dedans. Mais comme mercredi, je dois faire une présentation de mon projet dans le cours Pratique de la recherche II, il faut bien que je m'y mette maintenant.
Aujourd'hui, les polticien(ne)s les plus connu(e) sont considéré(e)s et traité(e)s par la presse à scandale comme de véritables "people". La semaine dernière encore, Voici faisait sa Une avec Ségolène Royal, laissant entendre qu'elle aurait une histoire avec l'ancien auteur des Guignols de l'Info. Preuve qu'il n'y pas que Sarkozy qui focalise l'attention des paparazzi. La presse internationale (et aussi les journaux dits sérieux cette fois) a également beaucoup parlé de la grossesse de la Ministre Rachida Dati. Les britanniques allant jusqu'à spéculer sur l'identité du père biologique. Pourquoi existe-t-il un tel engouement pour ce genre d'affaires alors qu'il y a encore une dizaine d'années cela semblait indécent? Comment est-on arrivé à un tel mélange des genres entre vie privée et publique? En France, on a l'impression que les journalistes se sont véritablement décomplexés sur le sujet de la vie privée depuis les années Mitterrand où régnait une sorte d'omerta sur l'existence de la fille "illégitime" du Président.
Ce que j'ai lu jusqu'à présent tend à démontrer que ce phénomène n'est pas vraiment récent en fait. En pleine années Giscard, Schartzenberg (1977) en parlait déjà dans un ouvrage intitulé l'Etat Spectacle, où il dénonçait la "starification" des hommes politiques. Un autre article, montre qu'aux Etats-Unis (pays considéré comme précurseur en la matière), l'exposition de la vie privée chez les hommes politiques est véritablement apparue avec JFK qui est rapidement devenu coutumier du fait. En Suisse, contrairement à certaines idées reçues, nous ne sommes actuellement pas en reste. Le traitement des conflits conjugaux de Valérie Garbani au printemps dernier en est un exemple révélateur.
Voilà pour le contexte général, reste maintenant le plus difficile, à savoir trouver une véritable problématique ainsi qu'une question de départ. Je vous donnerai des nouvelles.... A bientôt
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